« On touche à tout : droit, économie, sociologie… c’est pluridisciplinaire. »
« Ça touche tous les domaines de l’entreprise. »
« Je voulais travailler dans l’administratif. »
« J’avais un intérêt pour le monde de l’entreprise. »
- Savoir mobiliser des compétences en matière d’expression orale et écrite afin de pouvoir argumenter un raisonnement
Cet attendu marque l’importance, pour la filière AES, de la maîtrise de la langue française, écrite et orale, par le candidat, qui doit posséder les fondamentaux de la langue : orthographe, grammaire, syntaxe et vocabulaire. La langue française doit en outre pouvoir être utilisée par le candidat pour produire une argumentation structurée, même relativement simple (cette compétence ayant vocation à être renforcée à l’université), et pour raisonner sur des concepts.
- Disposer de compétences mathématiques indispensables à la gestion et à l’économie.
Cet attendu marque l’importance, pour la filière AES, de la maîtrise des raisonnements mathématiques essentiels notamment pour appréhender les enseignements relevant de l’économie et de la gestion. Le niveau attendu en mathématiques n’est évidemment pas aussi élevé que dans les disciplines scientifiques dures, ni même qu’en licence d’économie et de gestion, où la proportion des enseignements fondés sur des connaissances mathématiques est plus élevée.
- Pouvoir travailler de façon autonome et organiser son travail
Cet attendu marque l’importance, pour la filière AES, de la capacité du candidat à travailler de façon autonome. Comme beaucoup de filières universitaires, la formation en licence d’AES laisse une place substantielle à l’organisation et au travail personnels. L’encadrement est souple ; seule une partie limitée des enseignements est obligatoire et donne lieu à des rendus obligatoires de travaux (les travaux dirigés).
- Etre intéressé par les questions sociétales et être ouvert au monde
Cet attendu marque l’importance, pour la filière AES, que le candidat ait un niveau minimum de curiosité pour la société et le monde qui l’entoure. La formation en Licence AES ne peut en effet être déconnectée des réalités sociales et culturelles. En outre, cette formation s’inscrit nécessairement dans un contexte européen et global qui implique, au cours du cursus, d’étudier d’autres systèmes que le système national. Une telle approche dans un contexte global requiert de maîtriser au minimum une langue étrangère, en particulier l’anglais.
Les cours de la Licence 1 sont réunis autour des blocs suivants :
Sciences économiques et sociales Introduction à l’économie Introduction à la sociologie Histoire de faits économiques et sociaux | Droit Introduction au droit Droit des contrats Droit des personnes et de la famille |
Gestion quantitative Comptabilité | Gestion des organisations Economie d’entreprise Dynamique de l’entreprise |
D’autres enseignements viennent compléter la formation : langues, méthodologie, projet professionnel…
En L1 et en L2, tous les étudiants suivent le même programme organisé de façon équilibré autour des 4 blocs (SES, Droit, Gestion Quantitative et Gestion des Organisations).
La spécialisation a lieu en 3ème année. Les étudiants choisissent un des deux parcours : Parcours Administration et Gestion des Entreprises ou Parcours Administration et Gestion des Territoires. Ils suivent un tronc commun et des matières spécifiques à leur parcours.
A noter qu’un stage est obligatoire au cours de cette troisième année et qu’il est également possible de réaliser un semestre à l’étranger dans une université partenaire.
167 étudiants inscrits. Chiffres pour les présents aux examens
Des passerelles avec la Licence Économie Gestion existent en L1 et L2 et avec la Licence Droit en L1 pour faciliter les réorientations.
La Licence AES permet une grande variété de poursuite d’études en Licence Professionnelle ou bien en Master dans les domaines de la gestion (ressources humaines, marketing, comptabilité...), de la banque, du développement économique, de la logistique…
Pour savoir précisément ce que sont devenus les diplômés de la licence AES à l’UBO, il est possible de consulter pour chaque année les archives des enquêtes « Que sont-ils devenus ? », faites par l’Observatoire de l’UBO.
Vous saurez ainsi s’ils ont poursuivi en master (et quel master), trouvé un emploi, etc…
« Ne pas se laisser déborder. Le soir, je revois chaque cours et je le remets en forme : c’est indispensable. L’important, c’est aussi de prendre du recul, d’établir des liens entre les matières.
Il faut être polyvalent, pouvoir s’adapter du fait de la grande diversité des matières que l’on étudie (comptabilité, droit, économie, histoire, etc.). Je pense que s’intéresser à l’actualité dans ces domaines est un plus."
« Le conseil que je peux donner c'est de bien relire ses cours magistraux et de voir ce que tu ne comprends pas pour poser tes questions, soit en TD, soit directement au prof du cours magistral.
Et surtout il faut aller à tous les cours magistraux sans exception, c'est le secret de la réussite, bosse comme si tu étais au lycée sauf que tu n'auras personne derrière toi pour te dire fais tes devoirs, donc faut te prendre en main dès le début et t'obliger à t’entraîner, faire des exos pour bien comprendre, surtout les maths si tu sors d'un bac L. »
Le volume horaire par semaine est d’environ 25 h de cours permettant de travailler à la bibliothèque, seul ou en groupe, de s’engager dans la vie associative et/ou de pratiquer une activité sportive et/ou culturelle. A ces heures de cours doivent s’ajouter un temps de travail personnel (révision des cours, préparation des TD, lectures, révisions…).
Découvrez la vidéo en ligne pour tout savoir sur les études d’Economie-Gestion et AES à l’UBO