Le fond d'amorçage SEA-EU de l'université de Kiel
Characterization of M-X (M= Mo, W, Cu; X= N, O) intermediates by MS and electrochemistry
Responsable du projet à l'Université de Kiel : Tobias Adrian Engesser, Institut de Chimie Inorganique, Faculté de Mathématiques et de Sciences Naturelles
Partenaire(s) de collaboration : Dr. Nicolas LePoul CEMCA (UMR 6521), Dr. Antony Memboeuf CEMCA (UMR 6521), de l'Université de Brest
Résumé du projet :
Ce projet de recherche prolonge la collaboration en cours entre les équipes de Brest et de Kiel dans les domaines de la spectrométrie de masse et de l’électrochimie. En combinant leur expertise dans la caractérisation des intermédiaires réactifs cuivre-oxygène, le projet se concentrera sur l'utilisation de complexes de cuivre développés à Kiel pour des expériences de spectrométrie de masse menées à Brest.
Cela impliquera également des expériences de marquage isotopique avec 18O2 afin d'examiner les réactions en phase gazeuse entre les complexes de cuivre et l'oxygène. Ces travaux permettront de mieux comprendre le mécanisme sous-jacent de la conversion catalytique des phénols en quinones, qui est médiée par ce type de composés à base de cuivre.
Polygenic Scores for Subtypes of Diseases
Responsable du projet à l'Université de Kiel : PD Dr. Amke Caliebe, Institut d'Informatique Médicale et de Statistiques, Faculté de Médecine
Partenaire(s) de collaboration : Dr. Anthony Herzig GGB (UMR 1078), de l'Université de Brest
Résumé du projet :
Ce projet de recherche, qui vise à évaluer la performance des scores polygéniques (PGS) pour différents sous-types de maladies, établira une nouvelle collaboration scientifique entre Kiel et Brest. Les PGS ont pour objectif de quantifier l'influence de la génétique d'un individu sur sa susceptibilité à des maladies complexes et courantes, telles que les AVC et le cancer.
Les chercheurs, partageant un intérêt commun pour l'étude des PGS, effectueront chacun un séjour de recherche d'une semaine dans l'université partenaire et superviseront conjointement un étudiant en Master basé à Brest. Ensemble, ils simuleront des sous-types de maladies afin d'explorer comment améliorer la précision des PGS, dans le but de développer de meilleurs modèles pour des approches de médecine personnalisée.