Yoann avait déjà un intérêt pour l’informatique au lycée suite à sa formation en STI2D et les différents concours types Algoréa auxquels il a pu participer. Il a découvert l’UBO et plus précisément le département informatique en participant à l’OBILAN évènement de jeux vidéo organisé par OBI1 l’association représentant le département informatique.
Il fera alors une L1 ISI pour se diriger en L2 IFA afin de développer son intérêt pour l’informatique. En L2 il rejoint OBI1 en tant que secrétaire général pour participer à l’organisation des événements qui lui ont fait connaître le département.
Il fera ensuite une L3 IFA où il deviendra le président D’OBI1, mais l'arrivée du COVID et des problèmes qui y sont liés ne l’ont pas aidé pour avoir son année et organiser les événements qu’il voulait avec son association. Il redoublera deux fois sa L3 suite à des problèmes personnels liés au COVID et reprendra en 2022 le poste de président de l’association pour organiser l’OBILAN de nouveau.
Maintenant il se dirige vers un Master TIIL-A en alternance pour faire du développement logiciel et du développement web qu’il a toujours adoré apprendre lors de sa formation.
Clara a pu découvrir l’informatique au lycée à quimper, puis après une terminal S décide de se tourner vers la faculté d’informatique de Brest.
Elle a pu obtenir une L3 IFA après une L1 ISI et une L2 IFA. Elle est actuellement en M1 LSE toujours à la faculté d’informatique, et réalise un stage de 3 mois et demi où elle participe à la simulation de systèmes sur puces systèmes sur puces (SoC). Elle utilise pour ça toutes ses compétences acquises au cours de la licence, et considère que les bases apprises durant ces années sont extrêmement importantes pour le passage à la pratique. Elle compte, après l’obtention de son M2, se diriger vers un doctorat dans les systèmes embarqués afin de devenir une experte dans son domaine.
Ces années au département informatique lui ont aussi permis de découvrir le monde associatif avec OBI 1, où elle a pu organiser de nombreux évènements autour de l’informatique, des jeux vidéos ou encore des jeux de sociétés. Elle aimerait voir se développer les évènements au sein du département pour amener une cohésion entre les membres de la promotion et créer une plus grande dynamique de groupe.
Layla est entrée en L1 MPI en 2017 à l’UBO, et a continué vers une L3 IFA. D’abord attirée par la physique, ce sont les différentes UE disponibles en L1 qui l’ont dirigée vers l’informatique et notamment la programmation.
Elle rejoint enfin un master TIIL-A pour poursuivre cette voie, et avoir un vrai plus sur son cv avec les différents stages et alternance que ce parcours proposait.
Cela lui a aussi permis de découvrir les mondes de l’administration systèmes et des réseaux, un cursus vers lequel elle aimerait se diriger après son master et son stage à la DSI de l’UBO. Elle aide ici l’équipe Système à faire des tests sur des configurations de Reverse Proxy et de Load Balancers.
Ayant eu un parcours atypique dû à son statut de sportive de haut niveau, elle tenait à remercier les différents professeurs qui ont pu la soutenir et l’aider lors de son cursus.
Après un Baccalauréat S en 2016 Thibault rejoint le DUT Info de Vannes. Après 2 ans il décide de rejoindre L’UBO en 3ème année de licence Ingénierie Informatique directement. Il aura ensuite l’occasion de passer par le master TIIL-A afin de réaliser une alternance à Naval Group. Il est maintenant développeur pour ASI et en mission chez Arkea qui a ses bureaux à Brest. Il travaille en java sur leurs applications, fait du passage d’ordre et de la tarification ainsi que du run.
Il garde un bon souvenir de ses années à l’UBO notamment de par la cohésion de groupe qui a pu se créer en L3, les élèves se connaissant déjà pour la plupart de l’IUT où il était avant. La licence lui a permis d’acquérir des compétences théoriques qui ont été mises en application lors de l’alternance en master.
Catherine est arrivée à l’université en 1993 où elle a pu faire un DEUG en 2 ans puis l’année de L3, et une année de maîtrise (équivalent master 1) toujours au département informatique. Elle a poursuivi sur une thèse à Clermont Ferrand au laboratoire de recherche sur le langage, en intelligence artificielle, sur la planification automatiques d'objectifs pédagogiques dans des environnements éducatifs. Elle est maintenant maître de conférences en informatique, directrice adjointe de l'école d'ingénieurs ENSIM (l'école Nationale Supérieure d'Ingénieurs du Mans).
En revenant sur son passage au département informatique, elle décrit un endroit vivant avec une superbe ambiance, et une relation professeurs élèves propice à l’apprentissage. Elle cite notamment les différentes LAN Party organisées par les étudiants du département informatique.
D’abord venue pour les mathématiques elle est restée pour les matières d’informatique et les enseignants. Elle retient de ses études une capacité à apprendre par soi même et à se maintenir à jour concernant les nouvelles technologies et autres techniques de programmation.
Elle incite les élèves à tenter et réaliser les projets dont ils rêvent, même si vous échouez vous trouverez le moyen de rebondir et d’en sortir grandi.
La plupart des cours techniques de programmation qu’elle a pu maîtriser dans les années 90 sont dorénavant obsolètes, elle apprend de nouvelles choses tous les jours, un bon informaticien c’est un informaticien qui se met à jour en permanence.
Son poste de maître de conférences en informatique, et de directrice adjointe de l'école d'ingénieurs ENSIM lui permet d'être au contact de futurs ingénieurs et informaticien en quête de connaissance, ce qui lui permet de toujours être à jour sur les techniques actuelles et apporte un côté plus humain et social à l’informatique.
Elle a toujours besoin de nouveaux challenges pour se développer, que ça soit avec de nouveaux défis en interne à l’ENSIM ou à l’université, ou pourquoi pas dans une autre école d’ingénieur.
Kévin a fait une licence d'informatique à Tours, avec un erasmus à Venise, avant de venir à Brest en master International et LSE. Il a été diplômé en 2022 et réalise actuellement une thèse au Lab-STICC dont le sujet est "IDS embarqué à faible impact énergétique pour environnements contraints". Il fait donc de la Recherche ainsi que de la rédaction d'articles autour de sa thèse.
Il s’agit d’une thèse CIFR avec Thales, il a donc un temps de travail réparti entre le laboratoire de recherche au Lab-STICC et en tant qu’ingénieur de recherche à Thales, 2 jours par semaine.
Le Master lui a permis de partir lors de son M2 au canada ainsi qu'au brésil pour des stages. Ces voyages lui ont permis de découvrir de nouvelles manières de travailler et de vivre en entreprise.
C'est un parcours qui lui a permis d'apprendre le FPGA en master, ce qui lui a été utile pour ses stages et pour son doctorat. Au canada il a appris beaucoup de choses sur les IA, ce qu'il réutilise également en doctorat.
Ces différents stages et expériences professionnelles lui ont permis d'appliquer des théories de manières plus concrètes.
Après l'obtention d'un bac S SVT, Aymeric essaie d'aller en prépa math mais décide de la quitter au bout de quelques semaines . Il se dirige en L1 MPI pour se spécialiser en informatique, et fera une L2 puis une L3 IFA. En L3 il ira en stage chez VEHCO mettre à jour les applis web du support.
Il fera un Master SIIA principalement pour suivre le module d'interaction avec les environnements virtuels.
En M1 il fera un stage à l'IMT Atlantique, en lien avec la thèse d'un doctorant, qui consistait à mettre en place une simulation de ruche d'abeille, pour permettre aux apiculteurs et aux non initiés d'avoir une formation réelle sur les ruches d'abeille. La simulation permet d'interagir de manière réaliste. Il poursuit les travaux de son stage lors d'un second stage en M2 SIIA.
Il est diplômé en 2021 et commence à travailler avec l'équipe INUIT du Lab-STICC en tant que doctorant. sa thèse a pour sujet :
Réalité augmenté et interaction tangible pour superviser et interagir avec un essaim de robots
Il étudie la façon dont les essaims de robots s'organisent en groupe et collaborent pour accomplir leur mission. Le comportement de ces robots provient des comportements notamment observés chez les animaux qui les poussent à s'organiser d'eux-mêmes et agir en collectivité, comme chez les bancs de poisson par exemple.
Son but est de comprendre ces systèmes, de les faire comprendre et de permettre à un utilisateur de les contrôler avec un interacteur tangible. De plus, en tant que doctorant, son travail le mène à publier les résultats de ses recherches sous le format d'articles scientifiques .
Son parcours universitaire lui a appris les bases de l'informatique comme les langages et les architectures. Les compétences techniques utilisées en doctorat ne font que mettre en pratique ce qu'il faisait avant. Par exemple le langage objet découvert en java lui permet d'utiliser du C#. Il a appris une méthodologie qu'il peut adapter à tout langage objet.
Il a également les bases de l'infographie 3D qu'il peut adapter à n'importe quel type de logiciel utilisant un rendu 3D.
Il a aussi beaucoup appris sur la robotique et les systèmes multi-agents, qu'il réutilise aujourd'hui.
Après son doctorat il aimerait travailler en tant qu'ingénieur en recherche et développement, ou lancer sa startup de création de jeu vidéo.
Après l'obtention d'un BAC S Alan a cherché sa voie en passant par une prépa et une licence de physique chimie, une L1 d'histoire et une Licence de mathématiques, avant d'arriver en licence d'informatique à l'UBO. Il est arrivé au département informatique pour des raisons principalement géographiques et est resté grâce aux activités externes comme le suaps, et la cohésion de groupe amenée par les associations.
Il terminera sa licence d'informatique avec un stage de L3 à l'INRIA à Rennes, un labo de recherche où il fera une étude de monitoring.
Il continuera en Master LSE avec un stage en TAL (temps d'accueil en laboratoire) de 6 semaines. Puis en Master 2 LSE avec un stage de recherche à l'UBO pour SEA EU, où il travaillait le traitement d'image sous l'eau par drone.
Après l'obtention de son diplôme en 2021 et les différentes expériences qu'il a pu avoir dans la recherche, il s'oriente vers un poste d'ingénieur de recherche qui débouchait sur un sujet de thèse.
Cette thèse de doctorat est réalisée au pôle sharp du Lab-STICC dans l'équipe shaker et a pour sujet :
L’IA temps réel avec des contraintes qualité temps ressources
Il est en même temps ingénieur composant logiciel à Thales et alterne entre l'UBO et Thales durant la semaine.
Son parcours lui a permis d'acquérir une méthodologie et une connaissance des langages de programmation qui peuvent servir dans pleins de domaines différents, et qui permet de s'adapter à de nombreuses situations.
L'apprentissage de Linux en licence lui est toujours utile et est même très important dans son travail actuel. Ses anciennes expériences comme son stage lui ont aussi appris le fonctionnement d’algorithme d’IA qu'il utilise chaque jour pour sa thèse.
Il fait donc de nombreux tests sur des algorithmes, lis et rédige de nombreux articles afin de répondre à la problématique de sa thèse.
Un goût prononcé pour la recherche qui l'amènera sûrement à réaliser un post doc dans un autre pays ou à devenir enseignant chercheur.
Sébastien est passé par d'autres licences avant de découvrir l'informatique en L1 MPSI à l'UBO.
Il y a fait toute sa licence et a pu réaliser un stage de L3 au CERV (Centre Européen de la Réalité Virtuelle) à Plouzané. Il avait un projet en collaboration avec le département de géoarchitecture qui consistait à transposer le bâtiment créer sur logiciel par l'architecte sur unity afin de permettre une visite en réalité virtuelle.
Il a fait un M1 LSE avec un stage de 2 mois de nouveau au CERV. Le projet était de réaliser une expérimentation avec des psychologue, une expérimentation de la perception de son corps en environnement virtuel.
En M2 LSE il réalise un stage à l'UBO sur la modélisation et les méthodes d'analyse, ainsi que la vérification en amont de systèmes.
Lors de son M2 ses professeurs lui donnent envie de réaliser une thèse avec le CNES et l'observatoire de Paris avec comme sujet :
Aide à la validation temporelle d’une application Gericos sous une architecture multicoeurs
Sa thèse et ses stages découlent de ce qui a été appris en Master, comme les langages de modélisation.
L'ensemble de son parcours lui a apporté des compétences d'analyse, de mieux comprendre des documents et d'adapter ses connaissances théoriques à différentes choses. Par exemple apprendre un nouveau langage rapidement et s'adapter à d'autres langages.
Il compte donc réaliser sa thèse et potentiellement continuer plus tard dans la recherche afin de toujours travailler dans le débat et garder une prise d'initiative et une liberté.
Vincent a passé un bac SMTG avant d'aller vers un DUT ST-ID (statistique informatique décisionnel) qu'il a arrêté en seconde année pour se concentrer sur un parcours plus informatique.
Il a donc fait un BTS SNIR (Systèmes Numériques Informatiques et Réseaux au LP2I ce qui lui a permis de faire une 3ème année en licence CDA (Conception et développement d'Applications à l'UBO.
Il s'est ensuite dirigé sur un master informatique SIIA (Systèmes Intelligents, Interactifs et Autonomes). Son diplôme obtenu il décide d'aller faire une thèse CIFRE chez Thales et l'IMT ATLANTIQUE.
Le passage du BTS à la licence était l'occasion pour lui de prendre du recul théorique sur ce qu'il pratiquait depuis déjà plusieurs années.
Il savait déjà qu'il continuerait sur une thèse dès le BTS, et son parcours lui donnait de plus en plus goût à la recherche et à l'envie d'être expert dans un domaine précis.
Sa thèse se concentre sur la confiance de l'humain dans l'IA. Le travail de début de thèse consiste à lire un maximum d'articles pour comprendre son sujet et créer du débat avec ses encadrants sur certaines idées.
Il compte continuer dans la recherche dans le privée car l'enseignement ne l'attire pas forcément.
"Produire du savoir et avoir la liberté d’approfondir n’importe quelle idée liée à notre sujet de recherche est ce vers quoi j’aspire pour mon futur !"
Maureen s'est dirigée en licence Informatique à l'UBO après une année de licence de psychologie puis elle a continué sur un master LSE sur les conseils de ses professeurs qui l'encouragaient à continuer.
Elle avait déjà un intérêt pour l'informatique et le design mais l'informatique lui semblait plus accessible.
Elle a pu acquérir une logique de développement qui a été utile pour appréhender d'autres technologies. Les cours à l'université lui ont fourni les outils nécessaires pour son intégration professionnelle et le développement de sa carrière en tant que développeuse.
Elle aurait préféré faire un master lui permettant de faire de l'alternance afin d'acquérir plus vite de l'expérience professionnelle.
Sur le plan professionnel elle a analysé et développé une application mobile bancaire, et plus récemment, une application web de gestion d'équipe pour son entreprise.
Sur le plan personnel, elle est en train de créer et développer une application mobile avec un collègue et ami.
À l'avenir, elle aimerait se diriger vers le design UI/UX, tout en continuant à développer le partie front-end des applications.